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EXPERTISES
Le secteur avicole est la branche principale du Groupe Gaucher.
Sans mettre tous ses oeufs dans le même panier, ils ont développé plusieurs secteurs afin d’être polyvalent. Agriculture, élevage de dinde, de porc et plus encore, font du Groupe Gaucher une entreprise qui se démarque.
Production de grandes cultures
Le maïs
Principalement établi dans la région de Saint-Dominique en Montérégie à 70 km de Montréal, Groupe Gaucher est un intervenant majeur de cette municipalité en production végétale. Nous comptons plus de 700 hectares de terre cultivée dont 450 sont dédiés chaque année en production de maïs. La préparation des sols est appliquée méthodiquement pour atteindre une structure homogène et favoriser ainsi une levée rapide. Le choix des hybrides est tout aussi important que la planification du semis.
Dans le cas de problèmes climatiques, nous devons pallier aux carences et réagir conséquemment afin de protéger nos cultures. Outre la température, les maladies et les ravageurs sont parfois de la partie. Il faut donc agir promptement face à ces problématiques. Le moment venu, il sera temps de récolter et à l’obtention des stades repères, nous sommes prêts à passer à l’action. Une machinerie performante et bien entretenue sera primordiale pour exécuter la tâche dans la meilleure fenêtre de temps disponible.
Tout cela représente beaucoup d’attention, de soins, de préparation ainsi que de la main-d’œuvre qualifiée pour mener à terme une bonne saison.
Par an, c’est plus de 5 000 tonnes de maïs à transporter, à faire sécher, à entreposer et à commercialiser. Toutes ces opérations sont toutes faites par, et au sein de l’entreprise.
Dans le cas de problèmes climatiques, nous devons pallier aux carences et réagir conséquemment afin de protéger nos cultures. Outre la température, les maladies et les ravageurs sont parfois de la partie. Il faut donc agir promptement face à ces problématiques. Le moment venu, il sera temps de récolter et à l’obtention des stades repères, nous sommes prêts à passer à l’action. Une machinerie performante et bien entretenue sera primordiale pour exécuter la tâche dans la meilleure fenêtre de temps disponible.
Tout cela représente beaucoup d’attention, de soins, de préparation ainsi que de la main-d’œuvre qualifiée pour mener à terme une bonne saison.
Par an, c’est plus de 5 000 tonnes de maïs à transporter, à faire sécher, à entreposer et à commercialiser. Toutes ces opérations sont toutes faites par, et au sein de l’entreprise.
Le soya
Groupe Gaucher cultive environ 150 hectares de terre pour la production de soya chaque année. Comme pour le maïs, la préparation du sol est primordiale et une rotation des cultures doit être respectée.
Nous devons choisir la bonne technologie de semences adaptée pour nos champs. Quelles seront les bonnes génétiques pour nos types de sol ? Quels seront les meilleurs hybrides pour diminuer les risques de maladies communes nuisibles. Quelle seront les meilleurs taux de semis pour chaque champ selon les richesses différentes de ceux-ci. Ce sont tous des choix importants auxquels nous devons faire face avant le semis.
Une fois les plantules sorties, il faudra observer et identifier les stades de croissance de la plante afin de déterminer les bonnes solutions à appliquer s’il y a des problèmes détectés comme des maladies foliaires et fongiques. Il faut évaluer si cela vaut le coût de les traiter ou pas. S’il y a des actions à apporter, nous devons choisir les meilleurs produits, la meilleure fenêtre d’opération.
Puisque le soya répond mal à la fertilisation, nous nous concentrons principalement à fertiliser à un niveau maximal les autres cultures ; le soya répond quant à lui à la richesse du sol et aux éléments nutritifs appliqués par fertilisation foliaire. La protection de cette culture fera partie de nos préoccupations jusqu’à la récolte.
Par an, ce sont plus de 600 tonnes de soya qui seront produites par l’entreprise. Des 150 hectares en production de soya, il y aura une partie de terrain qui sera utilisée pour faire des contrats de semences pour une ou deux compagnies semencières dans le but d’aller chercher une plus-value à cette cultures.
Nous devons choisir la bonne technologie de semences adaptée pour nos champs. Quelles seront les bonnes génétiques pour nos types de sol ? Quels seront les meilleurs hybrides pour diminuer les risques de maladies communes nuisibles. Quelle seront les meilleurs taux de semis pour chaque champ selon les richesses différentes de ceux-ci. Ce sont tous des choix importants auxquels nous devons faire face avant le semis.
Une fois les plantules sorties, il faudra observer et identifier les stades de croissance de la plante afin de déterminer les bonnes solutions à appliquer s’il y a des problèmes détectés comme des maladies foliaires et fongiques. Il faut évaluer si cela vaut le coût de les traiter ou pas. S’il y a des actions à apporter, nous devons choisir les meilleurs produits, la meilleure fenêtre d’opération.
Puisque le soya répond mal à la fertilisation, nous nous concentrons principalement à fertiliser à un niveau maximal les autres cultures ; le soya répond quant à lui à la richesse du sol et aux éléments nutritifs appliqués par fertilisation foliaire. La protection de cette culture fera partie de nos préoccupations jusqu’à la récolte.
Par an, ce sont plus de 600 tonnes de soya qui seront produites par l’entreprise. Des 150 hectares en production de soya, il y aura une partie de terrain qui sera utilisée pour faire des contrats de semences pour une ou deux compagnies semencières dans le but d’aller chercher une plus-value à cette cultures.
Le blé
Cette culture fait partie intégrante de nos productions végétales destinées à la consommation animale, ce seront par des cultivars de blé d’automne que cette production sera réalisée. Depuis quelques années, avec l’expertise obtenue avec l’aide de nos consultants et de nos essaies aux champs, c’est à notre avis, la façon la plus rentable et efficace de produire cette céréale, tout en partageant, dans le temps, l’ensemble des travaux pour toutes les cultures de la ferme.
Dès la récolte du soya, le blé d’automne sera semé immédiatement de façon semis direct, c’est-à-dire qu’il n’y aura aucun travail de sol fait avant l’implantation de cette culture. Seulement un démarreur granulaire sera épandu avant le semis de celui-ci.
En tout, par an, ce seront environ 100 hectares que nous cultiverons en céréales. Pour un total d’environ 550 tonnes récoltées. Sur cette superficie, il y aura environ 15 à 20 hectares qui seront consacrés à la production de semences.
Après cette culture, il sera temps de faire tous les travaux d’amélioration des parcelles ; nivellement, décompaction, épandage de fumier, chaulage et épandage de potasse à taux variable. Et pour terminer, la mise en place de l’engrais vert.
Dès la récolte du soya, le blé d’automne sera semé immédiatement de façon semis direct, c’est-à-dire qu’il n’y aura aucun travail de sol fait avant l’implantation de cette culture. Seulement un démarreur granulaire sera épandu avant le semis de celui-ci.
En tout, par an, ce seront environ 100 hectares que nous cultiverons en céréales. Pour un total d’environ 550 tonnes récoltées. Sur cette superficie, il y aura environ 15 à 20 hectares qui seront consacrés à la production de semences.
Après cette culture, il sera temps de faire tous les travaux d’amélioration des parcelles ; nivellement, décompaction, épandage de fumier, chaulage et épandage de potasse à taux variable. Et pour terminer, la mise en place de l’engrais vert.
Engrais vert
De plus en plus pratiquée, cette culture présente beaucoup d’avantages. L’engrais vert a pour fonction d’améliorer la structure du sol à l’aide des racines qui, en s’infiltrant dans le sol, aideront à la formation de plus petits agrégats. Également, cet engrais pourra consommer le fumier fraichement épandu pour ensuite se décomposer et former de l’humus, maintenir la terre libre de mauvaises herbes qui pourraient prendre l’espace du sol qui serait laissé à nu, puis finalement, favoriser l’activité biologique du sol.
Parmi les variétés de mélange les plus utilisées au sein de l’entreprise, on retrouve le blé, le radis Daikon et la moutarde. Un effet de synergie se crée grâce aux différentes plantes utilisées.
Ce n’est que quelques bénéfices que l’engrais vert nous donne.
Une pratique qui gagne à être connue et utilisée.
Parmi les variétés de mélange les plus utilisées au sein de l’entreprise, on retrouve le blé, le radis Daikon et la moutarde. Un effet de synergie se crée grâce aux différentes plantes utilisées.
Ce n’est que quelques bénéfices que l’engrais vert nous donne.
Une pratique qui gagne à être connue et utilisée.